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"Stéphane Michaka secoue l'impeccable classicisme de son récit en mêlant une histoire d’amour impossible à son roman d’aventures, en donnant la vedette à un personnage féminin dont la silhouette, toujours, se dérobe..."
Raphaëlle Leyris, Le Monde des livres

De larmes et d’écume est un excellent roman d'aventure construit autour de la mystérieuse disparition du Mary Céleste. Il se construit entre deux époque: 1872 et 1884 et mêle différents narrateurs. Convoquant des personnages attachants et sincères, le roman nous plonge dans cette époque où le traffic maritime était encore symbole de richesse, de puissance mais aussi d'esclavagisme. Et où les légendes maritimes avaient encore une place importante dans tous les ports du monde. Disparition, mystère et puissance maritime nous tiennent en haleine jusqu'au dénouement. A découvrir !

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Le « found footage » est un sous-genre de films (souvent d’horreur) dans lequel on suit l’histoire à travers la lentille d’une ou plusieurs caméras portées par les personnages (plus rarement sont utilisés des caméras de surveillance ou des webcams). Les enregistrements une fois retrouvés sont montés pour en faire un film, d’où le terme « found footage », en français : « enregistrements trouvés ».

Ce genre de films possède une aura particulière, entre le réel et le fictionnel. D’ailleurs, le fameux Cannibal Holocaust (1980) a fait parler de lui à l’époque car on pensait que les acteurs avaient vraiment été mangés.

En 1999 c’est Le projet Blair Witch de Daniel Myrick et Eduardo Sánchez qui devient un phénomène mondial. La promotion du film s’est faite sur Internet et on y a fait croire que les personnages du film avaient vraiment disparu et que le film montrait de vrais enregistrements.

En 2007, sort [•REC] réalisé par Jaume Balagueró et Paco Plaza, un film espagnol d’horreur qui suit la contamination d’un immeuble par un virus zombie à travers la caméra d’une équipe de journalistes dépassée par les événements.

Le film terrifie par son point de vue : nous suivons l’action grâce à une caméra portée, nous sommes auprès des personnages, à leurs côtés. Nous ressentons leur fragilité, leur impuissance alors qu’ils sont pris au piège et pourchassés.  Comme tout se déroule en temps réel, il n’y pas de coupures, nous ne pouvons pas reprendre notre souffle, nous sommes autant piégés que les personnages. 

[•REC] sort deux ans avant le phénomène Paranormal Activity qui déclencha une mode des « found footage » engendrant une centaine de longs métrages du même type.  Toutefois, [•REC] reste l’un des meilleurs représentants du genre. A voir absolument pendant la période d’Halloween !

                A voir aussi sur Arte VOD : Late Night with the Devil (2023), Nightshot (2018), Diary of the Dead (2006) et Le Voyeur (1959).

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